In english
Stories
All galleries
Links
New links
SPONSORS
INDEX
Accueil
FORUMS
Editorial
Les Galeries
Histoires
Liens
Nouveaux liens
MOTEURS
DE RECHERCHE
| |
Texte trouvé sur le web par un lecteur.SUITE
Un garçon attaché aux garçons 02
CONVOCATION NOUVELLE
***************************
Je commençais à mieux comprendre le délicat chemin sur lequel je m’étais engagé et d’autre part j’étais plus que jamais décider à continuer. Il me fallait donc retourner chez mon maître pour améliorer ma condition de soumis, d’objet sexuel !
Un vendredi soir, je me retrouve encore une fois à l’entrée du donjon, en ayant bien pris le soin d’attendre que l’extrême sensibilité de mes seins ait retrouvé une palpation plus raisonnable à la suite de la dernière séance, je n’avais plus pu dormir sur le ventre pendant plusieurs nuits.
Le travail avait été tellement bien fait que cela ne se voyait absolument pas, alors j’avais pu ainsi profiter des derniers jours de soleil de Septembre, sans inquiétude.
Le soleil m’avait bien profité et m’avait permis d’effectuer un petit régime minceur. C’est donc en petite tenue que je me retrouvais devant mon maître : cokring acier lourd sous un slip de cuir genre jockstrap. Cela laissait dés le départ pas mal de possibilités pour s’occuper de mes fesses et du reste !
J’attendais debout, les mains derrière le dos un bon moment avant qu’une main experte m’impose une cagoule complète qui m’aveugle. Puis très vite un pincement sur les seins avec les pinces que je montre en photo ..
D O U L E U R …..Et l’excitation me faisait déjà bander, alors que je venais juste d’arriver. Heureux d’avoir encore toute ma liberté de mouvements, je gardais néanmoins les bras derrière le dos. Toujours dehors, mais heureusement à l’abri des regards, je sentis un bracelet puis un deuxième sur les poignets qui se trouvèrent attachés à un collier de cou large et très serré.
L’effet de traction fut immédiat et rendit douloureux la pointe des seins.
Je ne restais pas très longtemps les mains attachées à ce collier à ma grande surprise et quelques pas dans l’obscurité et je me retrouvais ficelé comme un saucisson prêt à consommer, avec de nouvelles pinces à seins qui me tiraient fortement vers l’avant, tandis que le collier m’empêchait d’avancer et commençait à gêner sérieusement ma respiration.
La tension forte dura et dura encore, et je n’arrivais pas à avancer même légèrement pour me soulager les pointes de seins.
Je commençais à transpirer sous l’effet de traction, la douleur montait et devenait à la limite de ce dont j’étais capable de supporter. Je me rendais vite compte de mon peu d’endurance et donc je décidais de serrer les dents pour m’empêcher de crier ma souffrance.
J’avais été attaché avec grand art et pendant tout ce temps je bandais au plaisir de savoir ainsi mon corps offert et disponible, sans pouvoir me protéger d’aucune manière.
Cette situation était excitante et arrivait à atténuer la douleur due à la traction des pinces à seins. Je n’avais plus aucune possibilité de bouger et encore moins de crier avec le bâillon en forme de boule dans la bouche.
La ceinture large limitait aussi ma capacité respiratoire et je me plaisais à l’idée de me savoir ainsi ficelé. J’étais immobile pour éviter d’augmenter la traction déjà bien douloureuse. J’avais très envie de jouir et plusieurs fois je me retrouvais au bord de l’éjaculation tant l’excitation de la situation était forte. Il y avait bien longtemps que je cherchais ce genre d’expérience et j’étais douloureusement heureux de pouvoir vivre un de mes fantasmes. J’essayais de penser à autres choses qu’à mon corps pour éloigner la douleur et la pression de jouir. Il n’y avait pas besoin de me toucher et encore moins de me branler, je sentais que je mouillais, et que la goutte de rosée sortait de mon sexe, annonciateur de l’éjaculation !
Comme vous pouvez le constater sur la photo, j’étais entièrement rasé depuis ma dernière séance de soumission et je trouvais cela extrêmement érotique et agréable puisque tel était le désir de mon maître.
Le temps commençait à rendre la douleur insupportable, j’apprenais ainsi à augmenter ma capacité de résistance.
Les pinces étaient changées régulièrement et chaque nouvelle apportait une douleur différente J’aurais bien aimé et apprécié un peu de répit entre les changements, mais j’avais décidé de me soumettre autant que je serais capable !
J’avais perdu la notion du temps tandis que mes pointes de seins devenaient de plus en plus douloureuses, j’avais l’impression qu’elle
étaient en feu. Et toujours ces changements incessants et tiraillants que je n’arrivais plus à dominer. Pour essayer d’éloigner cette douleur trop localisée ( je ne sentais plus le bondage ) je tentais avec au moins une de mes mains d’atteindre mon sexe. Il ne pouvait y avoir que la masturbation qui remplacerait mes seins en feu !
Petit à petit, j’arrivais de la main gauche à saisir le prépuce puis tout le sexe sans que cela ne provoque une tension sur le reste du cordage.
Mon maître était toujours là à s’occuper encore une fois de changer ou d’ajouter d’autres pinces. Il me laissait faire, comme s’il n’avait rien vu, quand une traction plus forte me fit lâcher le sexe qui allait pas tarder à jouir.
Je ne pouvais plus tenir, résister encore à la douleur, j’avais atteint encore une fois une limite à ma situation d’esclave.
Nouvelle tentative pour me branler, quand ce fut une autre main que la mienne qui saisit mon sexe pour l’asticoter : le va et vient provoquait aussi une traction sur les pinces à seins et très, très vite je me mis à jouir.
Complètement extenué, mais heureux, mon maître enlevait les pinces et massait les pointes délicatement, pour ensuite me libérer du bondage.
Pour bien vous prouver que cela n’est pas de la fiction ou du virtuel, les photos qui accompagnent ce récit sont celles prises par mon maître lors de cette séance. Pour plus de détails, il faudra attendre la suite qui ne dépend plus de moi.
Encore un peu de patience ! !
De NOUVELLES sensations
Depuis mon dernier récit, le temps avait permis à mes seins de retrouver une sensibilité << normale >> et cette fois -ci encore je ne savais pas trop de quelles
manières j'allais être dominé !
A propos , je peux vous garantir que le dernier récit a été écrit après ma dernière
séance et que les photos prises par mon maître sont effectivement bien réelles :
il ne peut y avoir de doutes là dessus .
La seule recommandation préalable était d'être à jeun !
Que cela devait-il me réserver ?
J'avais eu tout le temps d'y réfléchir et même de décliner la nouvelle indication ,
mais aussi de la retarder !
Une fois de plus je venais me livrer sans limites justement pour essayer de franchir les miennes .
Ce que je vais écrire maintenant est le détail de ma dernière soirée , je vous prie de
bien vouloir me croire et ceux qui sont déjà venus à NICE savent bien désormais de quoi est capable mon Maître :
Le début fut chaleureux et je fus d'abord invité à boire plusieurs bières , tandis que
je me trouvais rapidement sans slip et paré d'un cokring en métal lourd enserrant
sérieusement la basse de mes parties génitales .
Puis vint ensuite un lacet de cuir pour fignoler
le travail ( je le compris très rapidement ) qui
avait pour but de m'empêcher d'uriner !
Je m'efforçais d'être raisonnable sur la boisson
car j'avais déjà expérimenté la douloureuse
sensation de l'impossibilité , de l'incapacité à
vider sa vessie .
Totalement nu je fus invité à descendre au donjon pour continuer mon éducation .
( j'ai toujours pensé que j'avais encore beaucoup de progrès à réaliser pour mieux
maîtriser mes douleurs et ainsi me livrer plus entièrement )
Je n'avais alors aucune idée de ce qui allait se passer et j'étais entièrement confiant
en la capacité de mon Maître à me faire progresser sans trop devoir me décourager
définitivement .
Je le vis arriver avec une belle et lourde cagoule en cuir qui me serra fortement la
tête et le cou m'aveuglant complètement .
Je bandais déjà et restais immobile, pendant
que ma vessie continuait à se remplir .
Comme je ne voyais plus rien , je sentis un
lien autour de chacun de mes pouces et
orteils . Lentement , la traction m'obligea
à écarter les mains jusqu'à l'horizontale et les jambes au maximum .......
Dans cette^position inconfortable , il ne restait pas beau coup de place pour bouger
sans douleur . J'essayais néanmoins de temps en temps de soulager la traction sur
les pouces .
Cela dura tout le temps d'un nouveau rasage intégral alors que par moment une main baladeuse venait m'asticoter le gland.
La pression sur la vessie s'amplifiait tandis que le rasoir s'attardait sur mes aisselles
bien offertes par la position étirée .
Puis les liens se relâchèrent et mes bras retrouvèrent une position de repos bien mérité,
le long du corps .
Dans le noir je dus , sur ordre de mon Maître enfiler une paire de rangers .
Bien vite , je me retrouvais en position suspendue par les pieds et mains attachées dans
le dos .
J'aimais cette position de soumission qui donnait toutes possibilités de travail sur mon corps !
Combien de temps suis-je resté dans
cette position , je serais bien incapable
de vous le dire !
Enfin mon Maître se décida à enlever
le lien qui serrait mes parties génitales
et fermait ma vessie .
L'urine enfin libérée se répandit sur
mon torse et rentra même un peu dans la cagoule .
J' venais de me pisser dessus sans le vouloir et je compris que MON MAÎTRE avait
effectivement pris le contrôle de mon corps .
Je sentais la pisse malgré moi et j'aurais volontiers fait une pause avec une bonne
douche avant de continuer mon éducation , mais cette dépendance je l'avais volontairement choisi et je l'acceptais .
Plusieurs giclée d'eau me rincèrent généreusement et toujours suspendu par les pieds
je devins trempé de haut en bas, mais cette fois-ci au moins j'étais propre .
Un moment de répit et je me retrouvais allongé sur le sol , fesses à l'air ! séchant
petit à petit et libéré de mes menottes .
La pause ne fut pas très longue et à nouveau dans la position du pendu à l'envers ,
je sentis la mise en place d'un solide et généreux harnais : les jambes étaient serrées
par au moins 3 ou 4 bracelets de cuir ainsi que les poignets et le buste également .
Le tout sur un corps fraîchement rasé .
La cagoule m'enserrait douloureusement le cou ou bien était-ce le sang qui commençait
à se mettre en pression ?
Je n'eus guère le temps de me poser la question parce que la cagoule fut remplacée par
des liens de cuir dans le style du harnais .
Ce changement me permit à l'envers de voir ce nouvel harnais tel que l'on peut le vérifier
sur cette photo .............
Enfin de la position verticale je passais à celle horizontale
sur le ventre .
Les pinces à seins qu'il me mit se firent de plus en plus
lourdes et je sentis de même un poids accroché à mon
sexe qui bandait toujours un peu !
Ce qui m'avait excité le plus était l'installation du harnais .
Il y avait du travail et beaucoup de soins à la mise en
place de tous les bracelets .
De même que les liens de cordage qui permirent cette suspension : le bout passait sur
le corps comme une caresse dominatrice et ajoutait une sensation très forte
d'immobilisation .........
Comme la photo permet de le constater,
Mon Maître s'était bien occupé de me
suspendre et vous pouvez admirer la
belle toile d'araignée qui me maintenait
en l'air .
Le bruit du palan, avec la chaîne qui me
passait entre les fesses faillit provoquer une belle éjaculation dont j'avais beaucoup de peine à me retenir !
J'étais dans un tel état d'excitation que la douleur des pinces à seins passait en second
plan.
J'eus droit à un long repos dans cette position et je dois avouer y avoir pris un énorme plaisir ( ce qui était le but, bien entendu )
Sur la première photo de ce récit vous pouvez effectivement vérifier que les pinces à seins et leur traction ne sont de la galerie et encore moins de la figuration. Leurs tractions étaient bien réelles.
Comme toutes les choses ont une fin, je fus descendu au sol et déharnaché avec une légère déception de rapidité. Je croyais en avoir fini pour la séance et j'étais loin de me douter de la suite.
Je me suis retrouvé saucissonné à plat sur une
planche à sécher! Le plus étonnant ce fut la
rapidité avec laquelle je fus immobilisé, avec
durant cette immobilisation nouvelle, un moment
de repos pour mes seins de courte durée , à
vérifier sur la photo:
Puis la traction sur les seins devint de plus en
forte, alors que je ne pouvais absolument pas
ma poitrine pour atténuer cette traction. Je
bandais à n'en plus pouvoir, tandis que j'avais
l'impression que l'on m'arrachait carrément les
seins.
Je ne savais plus où j'en étais: à la fois la situation
m'excitait à en jouir , et en même temps je
souffrais terriblement; n'était-ce pas ce que j'étais
venu chercher. Je n'avais pas à être déçu!
Je bandais à en souffrir, mais j'étais content de me
livrer totalement et de témoigner par une belle
érection l'effet du bondage. Ce n'est qu'en suite que
j'ai pu profiter visuellement de ma position, de la
qualité des liens, du mode de traction incroyable sur la pointe des seins et bien sur de
l'effet produit. Bien sur je savais que je bandais, mais j'étais aveuglé par ma cagoule.
Cette dernière photo montre réellement la traction
sur la pointe des seins et se passe de commentaire.
J'étais réellement content du voyage malgré la très
nette impression d'avoir les seins à feu et à sang!
Je n'avais pas à me plaindre de mon stage de
perfectionnement....
Ne soyez pas trop déçu de la fin un peu rapide, vous
me retrouverez bientôt, pour une autre expérience
de soumission . Suite à la prochaine fois, à la
demande de Mon Maître qui a pris les photos.
FIN
Suite/Next
Retour/Back
|