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Un garçon attaché aux garçons 01
MON INITIATION
****************
L’idée m’avait paru bizarre, mais il fallait bien que je sache !
Vraiment esclave ou bien envie d’une nouvelle expérience, de réellement me vérifier !
Comme convenu, j’allais donc à ce premier rendez-vous en prenant la précaution d’être bien à l’heure, habille d’un débardeur et avec un jean destroy.
A l’entrée de la villa, au portail, je trouvais un sac plastique comme prévu au téléphone avec un mot avec mon prénom.
Dans le sac : une paire de lunette de soudeur et derrière le carton une invitation à mettre ces lunettes si je décidais de passer le portail et d’attendre la suite.
Evidemment, j’avais vu la vidéo au-dessus du bouton de sonnerie et probablement déjà repéré, je me décidais enfin à mettre ces lunettes qui me plongèrent !Dans un noir absolu. De montures très couvrantes qui vous protègent les yeux des éclats de soudure à l’arc, avec cette odeur caractéristique de grillé électrique
A peine avais-je franchi le seuil du portail, une main me prit fermement le poignet et me tira en avant !
En silence et dans le noir absolu, essayez donc d’avancer avec des marches, des virages et des détours un peu périlleux !
J’avais décidé de me laisser faire afin de connaître mes limites et déjà inquiet de ce qui pourrait m’arriver !
« Ne bouge plus et mains sur la tête ! «
Immobile, je devais être dans une pièce quand j’entendis le bruit d’une fessée, lente et puissante ! : il y avait quelqu’un d’autre de soumis dans le local.
Bracelets aux poignets, mes bracelets très spéciaux qui enserraient aussi la paume des mains et je sentis vite une traction vers le haut qui m’obligea à me mettre sur la pointe des pieds !
Combien de temps, suis-je resté dans cette position nouvelle et inconfortable mais agréable au fond de moi.
Et toujours ce bruit de fessées, quand je sentis un effet de pinces sur mes seins qui m’obligèrent à me cambrer et ainsi à ne plus toucher le sol.
Une forte traction sur mon débardeur fit sauter une des pinces à seins et la douleur fut insupportable.
Repinces, mais cette fois elles devaient être différentes car en plus elles me tiraient de l’avant.
Y-avait-il une gouttière, en tous cas des gouttes ou un fin filet d’eau me coulait sur la tête et commençait à me tremper jusqu’aux pieds.
Quelqu’un enleva mes chaussures et écarta mes chevilles par des liens que je ne pouvais voir !
Ce qui eu pour effet de tirer encore un peu plus sur mes poignets. Je commençais à avoir des fourmis dans les mains, mais je n’osais rien dire de peur de m’arrêter en si bon chemin.
Et toujours ce bruit de fessées accompagnées maintenant par des aih ouilles ……
Quelqu’un m’enlevait les pinces des seins et la douleur m’extirpa une suite de cris de douleurs. J’avais mal avant et maintenant sans les pinces c’était pire !!!
J’étais trempé et une main caressa puis écrasa la pointe de mes seins. Probablement cette même main détendit la traction des bras, mais hélas la remplaça par une étirement plutôt horizontal !
Le floc d’une fessée sur mon jean trempé me surprit : je bandais dur et les pointes de mes seins étaient douloureuses.
Quelqu’un essayait de m’arracher mon débardeur ainsi que mon jean. Cela ma paraissait difficile voire impossible en raison de mes liens
Et pourtant ! Ecartelé, je me retrouvais ruisselant et désormais nu comme un vers. Ma queue me faisait mal tant j’étais excité par la situation.
Ma principale préoccupation était mes vêtements désormais inutilisable et comment alors rentrer décemment chez moi ??
Et toujours cette eau qui me ruisselait sur tout le corps, mais cette fois les fessées étaient pour moi ! Parfois même il me semblait qu’au moins 2 personnes s’amusaient avec mon corps !
Toujours aveuglé par ces lunettes très couvrantes et sans en avoir le choix, je me retrouvais allongé sur le sol, bras et jambes écartelés ! J’étais mieux sans le poids de mon corps quand je fus surpris par une traction, un soulèvement par les pieds !!
Les fessées donnèrent un mouvement de balancier, tandis qu’une main, parfois une bouche me masturbait !
J’allais jouir quand tout s’arrêta !
Comment avait-il su que j’étais limite ????? et probablement pour atténuer mes ardeurs, une main douce mais ferme attacha mes parties génitales !
Je ne sentais plus mes jambes mais j’étais heureux d’avoir résisté jusqu’à maintenant !
Puis une pince sur le nez m’obligea à respirer par la bouche, et je cherchais le sens de cette pince, quant à nouveau je sentis un liquide me couler sur les jambes écartées.
Toujours dans le noir et suspendu par les pieds, mon sexe me faisait mal quand de nouvelles pinces à seins me tirèrent de cette sorte d’extase masochiste.
Plusieurs mains peut-être mais je n’étais jamais laissé tranquille : traction sur les pinces à seins, sur les parties génitales, sur les couilles, travail du sexe, un ou plusieurs doigts dans l’anus & fessées …
Une sensation nouvelle et agréable( ce qui m’inquiéta ! ) Qui partait des chevilles et descendait et s’ajoutait au ruissellement déjà présent ! Il me fallut un bon moment avant de me rendre compte que j’étais en train d’être rase ! tout y est passé, jambes, cuisses, sexe, derrière, torse et aisselle ( pourvu qu’il ne me rase pas en plus le crane ) de toutes façons je n’avais guère la possibilité de l’éviter !
J’étais probablement rasé par plusieurs mains et toujours aussi tripoté un peu partout. Toujours dans le noir, je n’avais ni chaud ni froid, mais de plus en plus mal aux chevilles, au sexe ainsi qu’a la pointe de mes seins. Parfois la traction un peu trop forte à mon goût sur les pinces à seins devenait insupportable et m’arrachait un cri, ce qui eu pour effet de provoquer une avalanche de fessées.
Le sang maintenant affluait dans ma tête et je pensais avoir réalisé quelques progrès dans ma capacité à résister à la douleur. Que pouvait-il encore m’arriver ? J’étais nu, écartelé, suspendu, rasé et incapable de réagir sans augmenter la douleur mais aussi ainsi à l’entière disposition de mon maître ou mes ravisseurs.
La traction sur les pinces à seins me donnait un mouvement de balancier lorsque vigoureusement et douloureusement je fus débarrassé du lien qui emprisonnait douloureusement mon sexe et mes couilles.
Toujours trempé, en balancier le répit fut de courte durée quand je sentis tout mon sexe aspiré, entouré, massé et masturbé jusqu’à la jouissance suprême.
Je n’en pouvais plu d’avoir joui comme une bête et déjà j’appréhendais le moment de délivrance des pinces à seins !
Un bâillon annonciateur me confirma ce que je craignais et quand les dernières fessées redoublèrent je ne savais plus où j’avais mal précisément, tout mon corps était épuisé de douleur quand je me réveillais couché sur le dos nu et libre de tout lien.
Seul dans la pièce en silence je me risquais à enlever mes fameuses lunettes. Une série de petites lumières rouges me permit de voir le local de soumission : Une croix de saint André, sur un des murs une croix classique et ici et la des chaînes, un palan, des bracelets, des chaînes, un matelas, un harnais et une série imposante de cokring, pinces, fouet, cravaches, cadenas et pas mal de latex ………..
Au sol j’étais allongé sur un grand drap de latex, quand je pus lire sur un carton ( le même que celui de l’invitation ) l’ordre de laver le sol et de m’inviter ensuite à partir discrètement avec une enveloppe cachetée !
J’avais de la chance, mon maître qui avait pensé à tout avait aussi mit à ma disposition de quoi m’habiller, même si je n’étais pas très pressé de partir ; Le short et le débardeur n’étaient absolument pas à ma taille et de ce fait m’irritait la pointe des seins tandis je finissais de rincer à la serpillière le drap de caoutchouc témoin de mon abandon.
MON INITIATION / suite :
*****************************
Plusieurs semaines passèrent avant la seconde séance et j’attendais impatiemment un coup de téléphone qui m’inviterais à revenir me livrer ! à Mon Maître que je n’avais pas vu !
( Avait-il été déçu ? )
En tous cas j’avais bien envie de continuer et de progresser. Il me semblait que je devais bien être un piètre esclave ( mon maître ne souhaitait-il plus me dominer ? ) quand par curiosité j'ouvris l’enveloppe que j’avais emmené la dernière fois en partant.
Un autre numéro de téléphone ainsi que les conditions de ma prochaine visite : « être prêt à rester le temps qu’il faudra »
Je me présentais donc un vendredi soir, au portail de la villa en ayant pris la précaution cette fois d’avoir des vêtements de rechange.
Le local de soumission étant ouvert, je m’y engageais lentement et cette fois-ci sans lunettes, mais avec appréhension quand même.
Dans une semi-obscurité, des petites lampes rouges ajoutaient au suspense et j’entendis « à poils et mains sur la tête, garde le slip «
Plus rapidement que prévu, une cagoule cuir lacée très serrée me força au silence et au noir !
Une musique techno s’amplifia et je ne sais combien je suis ainsi resté de temps immobile avant de ma retrouver attaché à la croix de saint André que j’avais pu revoir en entrant.
Je bandais déjà à travers mon slip quand je sentis des pincements un peu partout ( probablement des pinces à linge ? ) : les plus douloureuses furent certainement celles sous les aisselles. Mon slip ne résista plus très longtemps et d’autres pinces déplacèrent la douleur vers mes parties génitales. Un objet froid, un peu visqueux me pénétra la verge et je me mordais les lèvres pour ne pas crier déjà. La fermeture éclair de la cagoule laissa passer un tuyau ; la respiration n’était pas facile mais ainsi je pouvais respirer par la bouche.
Hormis les pinces qui se multipliaient, la situation était très excitante : je devais ressembler à un hérisson tant je sentais une multitude de pinces ; puis un liquide se mit à couler dans le tuyau de ma bouche : J’étais lentement et sûrement obligé de boire alors que je ne pouvais plus uriner !
Cela commençait vraiment fort et pourtant je savais bien que je n’étais pas encore au bout de mes peines. La musique devint plus forte, un peu comme la douleur des multiples pinces que me semblaient autant d’aiguilles.
Ma langue arrivait assez bien à arrêter le liquide dans ma bouche mais j’étais soit d’avaler régulièrement soit de baver l’eau que je ne voulais plus boire. Un autre tuyau puis un deuxième cette fois dans les narines avec en plus une petite odeur de poppers qui annonçait l’enlèvement des pinces. Je criais en avalant pendant tout ce temps désagréablement long !
Combien suis-je resté ainsi attaché en croix à ma remplir la vessie ou à ma baver dessus ? Je crois même avoir somnolé un bon moment.
Une drôle de sensation sur mes seins, à la fois nouvelles, excitante et douloureuse. Quelles genres de pinces ?
La sonde de ma verge ne m’empêchait pas de bander et j’étais heureux d’avoir les parties génitales en liberté.
J’étais mouillé dedans et dehors quand un lien, cokring ou lacet, s’enroula serré autour de mon sexe et des parties génitales.
L’envie d’uriner se faisait de plus en plus pressant et après de longs te douloureux efforts, j’arrivais à soulager un peu ma vessie, ce qui eu pour effet immédiat de tirer encore plus sur mon sexe et mes couilles. ( j’ai compris plus tard en voyant un autre esclave dans cette situation que mon urine avait rempli un récipient attache à mes couilles )
Le temps passait avec des brûlures dans la verge chaque fois que j’arrivais à uriner, puis une sangle assez large m’écrasa la taille et m’immobilisa complètement. Ce n’était pas fini : j’étais en train d’être emballé ! Mes bras et jambes étaient étroitement plaqués sur la croix par une sorte de film élastique, dorénavant je ne pouvais absolument plus bouger.
Que pouvait-il m’arriver, j’étais dépendant à 100 % de mon Maître et si jamais je n’étais pas d’accord, mes moyens de refuser étaient bien limités : je pouvais encore crier, mais avant tout j’avais une entière confiance. Je bandais toujours à en avoir mal et je ne demandais qu’a poursuivre l’expérience !
J’avais choisi de venir confier tout mon corps et je n’avais aucune raison de le regretter, bien au contraire, j’étais pleinement satisfait de ce qui m’arrivait.
Et je n'avais aucun doute quand à la suite des événements !
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