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MOTEURS DE RECHERCHE

 

Témoignage de Thierry

De dominant à dominé...la frontière peut être ténue!

SUITE ET FIN 2/2

 

 

               Furieux, j'ai laissé exploser la colère rentrée depuis 8 mois et incapable de me maîtriser lui ai sauté dessus. Je l'ai secouée et lui ai arraché en partie se habits tout en la giflant violemment. Je ne sais pas comment cette bagarre aurait fini tant j'étais hors de moi si (heureusement par certains côtés), elle ne s'était saisie d'un seul coup de mes testicules exposés, les serrant, les tordant et les étirant à un point que je me suis mis à hurler et l'ai lâchée en portant mes mains à ma virilité pour essayer de lui faire lâcher prise. Elle a écrasé de plus belle mes bourses tout en empoignant ma verge de son autre main et en la secouant comme pour l'arracher. Au bout d'un temps qui m'a paru une éternité, elle m'a finalement lâché, me laissant tomber par terre où je me suis roulé en boule protégeant mes boules et attendant que la douleur se calme un peu.

Pendant ce temps , elle m'a annoncé qu'elle allait faire constater ses marques de coups par la police et porter plainte contre moi, puis demander le divorce. D'une part, je ne voulais pas la perdre. D'autre part, j'ai compris que compte tenu des lois très favorables aux femmes lors d'une séparation, de sa situation sociale et de mes torts, j'allais perdre mon domicile, mon travail et me trouver dans une situation financière inextricable, incapable de lui payer sa pension et vite réduit à rien.

Je me suis relevé à genoux et l'ai suppliée de me pardonner, lui disant que c'était toute la frustration accumulée en moi depuis qu'elle était devenue ma patronne qui m'avait fait perdre la tête. Je l'ai suppliée pendant une heure avant de l'entendre répondre "Bon, je te garde, mais je ne te pardonne pas tes coups et à la première incartade, je te vire comme un homme. Puisque tu veux rester avec moi, tu vas être sous mes ordres à la maison comme tu l'es déjà au travail; mais attention ici il n'y a pas le code du travail et tu vas en baver."

Heureux de m'en sortir à si bon compte, j'ai répondu "oui chérie, je t'obéirai à la maison aussi". Mon épouse est alors sortie sans mot dire, est revenue presque immédiatement avec une tringle à rideaux en bois et m'as dit "pour commencer, tu vas recevoir ta première fessée en représailles des coups que tu m'as donnés. Penche- toi en avant sur le dossier d'une chaise et tends ton derrière, je vais te faire passer l'envie de taper sur une femme". Je me suis exécuté et elle m'a cinglé les fesses pendant 20 mn, sans se laisser infléchir par mes cris et par mes larmes que je n'ai pu retenir longtemps tant mes fesses me brûlaient; de plus à chaque coup, mes bourses gonflées et douloureuses se balançaient accroissant encore la punition.

Elle m'a ensuite dit "maintenant, vas préparer le dîner, cet exercice m'a donné faim" . Anéanti de douleur et d'amertume, je n'ai rien répondu, ce qui a été ma principale erreur car je crois que j'aurais pu arrêter le processus qui m'a conduit à être aujourd'hui le larbin de la maison.

Elle a terminé son intervention par un méprisant "Et vas t'habiller pour commencer , tu es ridicule avec ton zizi en l'air et n'oublies par d'essuyer l'eau que tu a mise partout avant d'aller préparer ce dîner". Le reste de la soirée a été un enfer. Mes organes gonflés serrés dans mon slip rendaient chaque mouvement pénible et j'étais perclus de douleur lorsque j'ai eu terminé de ranger et de faire la vaisselle. Ma femme m'as alors dit, "Vas te coucher, demain tu te lèveras à 5h00 pour préparer le petit déjeuner et me servir au lit". Après quelques minutes, elle m'a rejoint et avançant sa main vers mon bas-ventre s'est emparée brutalement de ma verge douloureuse la masturbant jusqu'à ce qu'elle durcisse. Ayant obtenu une raideur suffisante, elle s'est empalée à califourchon et s'est mise à aller et venir sur mon membre. Ce qui à n'importe quel autre moment aurait été un intense plaisir s'est transformé en supplice; ses fesses fermes écrasant mes testicules meurtries à chaque descente. Dès qu'elle à joui, elle s'est retirée, a éteint la lumière et a dit "tu dors maintenant, debout demain 5 h00"

Depuis cette soirée, les choses n'on fait qu'empirer. A la maison, elle fait régner un discipline de fer exigeant selon son humeur que je sois nu ou vêtu d'une tenue de bonniche et d'une perruque, car elle ne supporte pas ma calvitie naissante, pour effectuer mon travail ménager et prenant parfois des photos qu'elle range dans un album caché pour m'humilier.

J'ai découvert que l'ensemble des tâches domestiques de la maison monopolise tout mon temps en dehors du travail, d'autant que mon épouse ma fait souvent refaire des travaux qu'elle estime mal faits et qu'elle prend un malin plaisir à changer de tenue presque chaque jour, accroissant ma charge de repassage. De toutes façon, faisant les trajets aller et retour du travail avec elle, en tant que passager car elle ne m'autorise plus à conduire sa voiture, je n'ai pas de moment pour échapper à sa surveillance.

Elle utilise peu les punitions corporelles pour maintenir son autorité, mais elle y a recours sans états d'âme quand j'ai fait quelque chose qui lui déplaît et chacune des fessées qu'elle m'applique me laisse des souvenirs douloureux pendant plusieurs jours.

Professionnellement, je suis toujours au même poste et au même salaire (cette stagnation de carrière est directement lié à l'action de mon épouse) alors qu' elle a été promue deux fois et bien qu'elle ne soit plus ma patronne directe, je lui suis hiérarchiquement très très inférieur. Je n'ai plus qu'une vague idée de son travail car elle me tient dans l'ignorance absolue de ses responsabilités, par contre je connais son salaire: 5 fois supérieur au mien.

Depuis l'an dernier, elle m'a d'ailleurs retiré chéquier et carte bleue et me donne au fur et à mesure l'argent dont j'ai besoin, surtout pour les achats domestiques car je n'ai plus de besoins personnels faute de temps. Quand je lui demande de l'argent, elle me le donne souvent avec un commentaire du genre "tu dépenses beaucoup trop, heureusement que je suis là pour gagner l'argent du ménage".

Pendant quelques temps, j'ai réussi à soutirer discrètement de l'argent dans son sac à mai, mais elle m'a trouvé en train de le faire et m'a m'envoyé son genoux dans les testicules avant de me faire construire le week-end suivant une sorte de pilori où elle m'a emprisonné une nuit entière et qui est devenu une de mes hantises.

Toutefois, ce qui m'est le plus dur à supporter dans ma nouvelle vie est sa dictature sexuelle. Nous ne faisons l'amour que quand elle l'a décidé, 2 à 3 fois par mois, soit beaucoup trop peu à mon goût. En plus, je n'ai droit qu'aux prestations minimum et bien que je lui pratique de longs cunilingus, elle ne daigne me faire de fellation que le jour de mon anniversaire. Je pense que le manque total d'envie sexuelle de mon épouse provient en partie du fait qu'elle soit avoir des amants, ce qui lui est facile car elle est souvent en voyage d'affaires alors qu'elle me sait à mon travail ou à la maison en train d'effectuer les corvée qu'elle m'a planifiées avant de partir. Mes soupçons viennent aussi du fait que lorsqu'elle revient de voyages, ses culottes que je lave toujours à la main sont très sexy et semblent parfois tâchées de sperme. Toutefois, je n'ose aborder le sujet avec elle de peur des ses punitions. J'avais trouvé un échappatoire à cette vie sexuelle réduite en pratiquant activement la masturbation, mais elle m'a d'abord interdit de la faire dans notre lit (bien que ce soit moi qui lave et repasse les draps), puis récemment, elle m'a interdit de me masturber tout simplement, prétextant que j'avais passé l'âge. Depuis quelques mois, s'étant aperçue que je trouvais encore des occasions de me soulager, elle m'a rasé et m'a équipé d'une ceinture de chasteté dont elle garde la clef après son pendentif de cou. Voici un bref aperçu de ce que ma femme me fait subir, mais je m'aime et la respecte.

Thierry

FIN

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