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Furieux, j'ai laissé exploser la colère rentrée depuis 8 mois et
incapable de me maîtriser lui ai sauté dessus. Je l'ai secouée et lui
ai arraché en partie se habits tout en la giflant violemment. Je ne sais
pas comment cette bagarre aurait fini tant j'étais hors de moi si
(heureusement par certains côtés), elle ne s'était saisie d'un seul
coup de mes testicules exposés, les serrant, les tordant et les étirant
à un point que je me suis mis à hurler et l'ai lâchée en portant mes
mains à ma virilité pour essayer de lui faire lâcher prise. Elle a écrasé
de plus belle mes bourses tout en empoignant ma verge de son autre main et
en la secouant comme pour l'arracher. Au bout d'un temps qui m'a paru une
éternité, elle m'a finalement lâché, me laissant tomber par terre où
je me suis roulé en boule protégeant mes boules et attendant que la
douleur se calme un peu.
Pendant ce temps , elle m'a annoncé qu'elle allait faire constater ses
marques de coups par la police et porter plainte contre moi, puis demander
le divorce. D'une part, je ne voulais pas la perdre. D'autre part, j'ai
compris que compte tenu des lois très favorables aux femmes lors d'une séparation,
de sa situation sociale et de mes torts, j'allais perdre mon domicile, mon
travail et me trouver dans une situation financière inextricable,
incapable de lui payer sa pension et vite réduit à rien.
Je me suis relevé à genoux et l'ai suppliée de me pardonner, lui
disant que c'était toute la frustration accumulée en moi depuis qu'elle
était devenue ma patronne qui m'avait fait perdre la tête. Je l'ai
suppliée pendant une heure avant de l'entendre répondre "Bon, je te
garde, mais je ne te pardonne pas tes coups et à la première incartade,
je te vire comme un homme. Puisque tu veux rester avec moi, tu vas être
sous mes ordres à la maison comme tu l'es déjà au travail; mais
attention ici il n'y a pas le code du travail et tu vas en baver."
Heureux de m'en sortir à si bon compte, j'ai répondu "oui chérie,
je t'obéirai à la maison aussi". Mon épouse est alors sortie sans
mot dire, est revenue presque immédiatement avec une tringle à rideaux
en bois et m'as dit "pour commencer, tu vas recevoir ta première
fessée en représailles des coups que tu m'as donnés. Penche- toi en
avant sur le dossier d'une chaise et tends ton derrière, je vais te faire
passer l'envie de taper sur une femme". Je me suis exécuté et elle
m'a cinglé les fesses pendant 20 mn, sans se laisser infléchir par mes
cris et par mes larmes que je n'ai pu retenir longtemps tant mes fesses me
brûlaient; de plus à chaque coup, mes bourses gonflées et douloureuses
se balançaient accroissant encore la punition.
Elle m'a ensuite dit "maintenant, vas préparer le dîner, cet
exercice m'a donné faim" . Anéanti de douleur et d'amertume, je
n'ai rien répondu, ce qui a été ma principale erreur car je crois que
j'aurais pu arrêter le processus qui m'a conduit à être aujourd'hui le
larbin de la maison.
Elle a terminé son intervention par un méprisant "Et vas
t'habiller pour commencer , tu es ridicule avec ton zizi en l'air et
n'oublies par d'essuyer l'eau que tu a mise partout avant d'aller préparer
ce dîner". Le reste de la soirée a été un enfer. Mes organes
gonflés serrés dans mon slip rendaient chaque mouvement pénible et j'étais
perclus de douleur lorsque j'ai eu terminé de ranger et de faire la
vaisselle. Ma femme m'as alors dit, "Vas te coucher, demain tu te lèveras
à 5h00 pour préparer le petit déjeuner et me servir au lit". Après
quelques minutes, elle m'a rejoint et avançant sa main vers mon
bas-ventre s'est emparée brutalement de ma verge douloureuse la
masturbant jusqu'à ce qu'elle durcisse. Ayant obtenu une raideur
suffisante, elle s'est empalée à califourchon et s'est mise à aller et
venir sur mon membre. Ce qui à n'importe quel autre moment aurait été
un intense plaisir s'est transformé en supplice; ses fesses fermes écrasant
mes testicules meurtries à chaque descente. Dès qu'elle à joui, elle
s'est retirée, a éteint la lumière et a dit "tu dors maintenant,
debout demain 5 h00"
Depuis cette soirée, les choses n'on fait qu'empirer. A la maison,
elle fait régner un discipline de fer exigeant selon son humeur que je
sois nu ou vêtu d'une tenue de bonniche et d'une perruque, car elle ne
supporte pas ma calvitie naissante, pour effectuer mon travail ménager et
prenant parfois des photos qu'elle range dans un album caché pour
m'humilier.
J'ai découvert que l'ensemble des tâches domestiques de la maison
monopolise tout mon temps en dehors du travail, d'autant que mon épouse
ma fait souvent refaire des travaux qu'elle estime mal faits et qu'elle
prend un malin plaisir à changer de tenue presque chaque jour,
accroissant ma charge de repassage. De toutes façon, faisant les trajets
aller et retour du travail avec elle, en tant que passager car elle ne
m'autorise plus à conduire sa voiture, je n'ai pas de moment pour échapper
à sa surveillance.
Elle utilise peu les punitions corporelles pour maintenir son autorité,
mais elle y a recours sans états d'âme quand j'ai fait quelque chose qui
lui déplaît et chacune des fessées qu'elle m'applique me laisse des
souvenirs douloureux pendant plusieurs jours.
Professionnellement, je suis toujours au même poste et au même
salaire (cette stagnation de carrière est directement lié à l'action de
mon épouse) alors qu' elle a été promue deux fois et bien qu'elle ne
soit plus ma patronne directe, je lui suis hiérarchiquement très très
inférieur. Je n'ai plus qu'une vague idée de son travail car elle me
tient dans l'ignorance absolue de ses responsabilités, par contre je
connais son salaire: 5 fois supérieur au mien.
Depuis l'an dernier, elle m'a d'ailleurs retiré chéquier et carte
bleue et me donne au fur et à mesure l'argent dont j'ai besoin, surtout
pour les achats domestiques car je n'ai plus de besoins personnels faute
de temps. Quand je lui demande de l'argent, elle me le donne souvent avec
un commentaire du genre "tu dépenses beaucoup trop, heureusement que
je suis là pour gagner l'argent du ménage".
Pendant quelques temps, j'ai réussi à soutirer discrètement de
l'argent dans son sac à mai, mais elle m'a trouvé en train de le faire
et m'a m'envoyé son genoux dans les testicules avant de me faire
construire le week-end suivant une sorte de pilori où elle m'a emprisonné
une nuit entière et qui est devenu une de mes hantises.
Toutefois, ce qui m'est le plus dur à supporter dans ma nouvelle vie
est sa dictature sexuelle. Nous ne faisons l'amour que quand elle l'a décidé,
2 à 3 fois par mois, soit beaucoup trop peu à mon goût. En plus, je
n'ai droit qu'aux prestations minimum et bien que je lui pratique de longs
cunilingus, elle ne daigne me faire de fellation que le jour de mon
anniversaire. Je pense que le manque total d'envie sexuelle de mon épouse
provient en partie du fait qu'elle soit avoir des amants, ce qui lui est
facile car elle est souvent en voyage d'affaires alors qu'elle me sait à
mon travail ou à la maison en train d'effectuer les corvée qu'elle m'a
planifiées avant de partir. Mes soupçons viennent aussi du fait que
lorsqu'elle revient de voyages, ses culottes que je lave toujours à la
main sont très sexy et semblent parfois tâchées de sperme. Toutefois,
je n'ose aborder le sujet avec elle de peur des ses punitions. J'avais
trouvé un échappatoire à cette vie sexuelle réduite en pratiquant
activement la masturbation, mais elle m'a d'abord interdit de la faire
dans notre lit (bien que ce soit moi qui lave et repasse les draps), puis
récemment, elle m'a interdit de me masturber tout simplement, prétextant
que j'avais passé l'âge. Depuis quelques mois, s'étant aperçue que je
trouvais encore des occasions de me soulager, elle m'a rasé et m'a équipé
d'une ceinture de chasteté dont elle garde la clef après son pendentif
de cou. Voici un bref aperçu de ce que ma femme me fait subir, mais je
m'aime et la respecte.
Thierry
FIN
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