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MOTEURS DE RECHERCHE

 

     Sandra fille soumise à M. très dominateur raconte...

                       Le coeur de Sandra battait à tout rompre et ses joues s'empourprèrent quand elle entra dans le grand magasin, noir de monde en ce vendredi soir.

Son amant et néanmoins coquin de mari lui avait donné des consignes assez étranges. Elle avait dû réunir tout une liste d'ustensiles mais la destination de certains ne lui paraissait pas claire du tout: autant le god et les pinces lui parlaient à l'esprit (et au corps!), autant les bougies, les mines de crayon à papier et autres choses étranges la laissaient perplexe.

         Elle arrivait à la cabine d'essayage. Suivant les ordre de M elle ne portait ni collants, ni slip. L'excitation mouillait déjà son entre cuisse. Après avoir pris une veste et un ticket, elle pénétra dans la cabine 4 comme convenu.

          Elle devait attendre qu'il se manifeste. "Déshabille-toi salope"fit une voix étouffée qui venait de derrière la cloison adossée au magasin.

"C'est toi?" souffla-t-elle, incrédule."T'occupe et obéis! sale petite pute!" s'entendit-elle répondre. Ne sachant pas s'il s'agissait vraiment de lui elle entreprit d'obéir... qui d'autre aurait pu savoir? "J'y suis" souffla-t-elle. "Assieds-toi dos au mur de droite en entrant, et vite!" Rouge de honte, elle s'assit, sachant que par l'espace vide d'une vingtaine de centimètres sous la cloison on pouvait voir ses fesses.

         "Mets tes mains dans le dos, vite!" fit-on alors sèchement. Dès qu'elle se fut exécutée, elle sentit un lacet froid et entendit crépiter quelque chose qui lui étreignit les deux poignets. Elle tira sur le lien mais sentit tout de suite qu'il était très serré et très solide. L'homme eut un sourire satisfait: elle ne pouvait à présent plus lui échapper, ces colliers de serrage électrique sont quasiment impossibles à ôter sans outil...

         Alors sans se presser, il partit dans le magasin pour faire un tour. Sandra, était restée dans la cabine d'essayage, prisonnière et transpirant à grosses gouttes.

Elle examinait lucidement la situation: je suis seule, nue comme un ver dans la cabine d'essayage d'une grande surface. Je ne peux pas me rhabiller et partir car j'ai les mains solidement entravées dans le dos. Conclusion: Je suis à la merci du  premier homme qui entrera sans regarder... Elle en était là quand le rideau de toile bleue s'écarta doucement. "Vous avez bientôt fini M'dame?" fit un adolescent qui rosit à la vue partielle de cette femme nue. Le rideau retomba immédiatement. "Non.. non!" s'étrangla-t-elle, le coeur battant. Elle pouvait percevoir des chuchotements qui venaient de derrière le rideau; un second adolescent, plus âgé et visiblement plus entreprenant passa la main pour écarter le rideau. Le regard de celui-ci s'attarda sur ses jambes et ses seins. "Dépêchez-vous, y'a du monde!" fit-il. Elle avait senti la gène l'envahir et avait tenté de soustraire à sa vue la pointe de ses seins. Mais en ce faisant, elle s'était tournée de côté, tout en gardant les mains dans le dos.

         Cette attitude imprévue avait éveillé la curiosité du voyeur improvisé: n'importe quelle femme aurait croisé ses bras sur sa poitrine pour dissimuler ses deux seins au jeune mâle sans expérience qu'il était. Elle aurait rouspété, tiré le rideau, et là ..rien! L'instinct lui dictait d'éclaircir ce mystère au plus vite, cherchait-elle à l'aguicher? Lui avait-il plu, lui si boutonneux? s'enhardissant, il écarta de nouveau le rideau mais du  côté opposé, prenant la pauvre femme à revers... Il sourit: elle s'était plaquée au maximum contre le rideau à l'entrée pour échapper à une nouvelle intrusion visuelle du même côté. Aussi eut-il un large panorama sur son dos, ses fesses et surtout ses bras toujours liés dans le dos. Comme électrisé et n'y tenant plus il souffla à son camarade:"Elle est attachée...et à poil, c'est quoi ça?" Son camarade eut un regard lubrique et fit mine de s'avancer pour se rincer l'oeil à son tour..."Arrête!" souffla le plus hardi "Monte la garde : je vais lui rendre une petite visite..." Interloqué, Thomas vit son camarade Karim pénétrer dans la cabine et refermer le rideau soigneusement derrière lui.

         Sentant une présence soudain dans son dos, Sandra eut un cri heureusement étouffé par la large main de Karim. Elle comprit avec horreur qu'elle avait été prise à revers. Son souffle s'accéléra et elle gémit instinctivement... elle était dans une situation terriblement humiliante à présent!

SUITE