Les pieds liés The tied feet Nous joindre/Our mail: |
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Résumé des épisodes précédents : Cathy et Richard son mariés depuis cinq ans. Elle vend de l’immobilier de bureau, il est directeur d’un lycée privé à Lyon (France). Voici deux ans, il lui avoue son penchant pour les cordes et les baillons. D’abord incrédule et révoltée, elle comprend rapidement le parti qu’elle peut tirer de cette situation nouvelle, et se fait offrir par exemple un luxueux quatre pièces en ville (épisode 1). Elle s’en amuse même (épisode 2), de plus en plus cruellement (épisode 3 et 4). Virtuose du clavier d’ordinateur, elle dialogue sur Internet avec une mystérieuse Samira qui s’intéresse à leur relation de couple particulière (épisode 5). Un rendez-vous est pris par les deux femmes secrètement et elles découvrent qu’elles se plaisent énormément (épisode 6). Elles conviennent que Cathy et Richard iront déjeuner à la pizzeria où Samira est serveuse afin que les présentations soient faites de façon fortuite en apparence (épisode 7). Richard est désagréable à loisir avec la jeune femme, ce qui décide Samira à aller plus loin et « jouer à trois » (épisode 8). Préparant une vengeance éclatante elle décide Cathy à lui confier la direction d’une séance de rééducation du garçon…(épisode 9) Devant le succès de cette expérience, Cathy décide de recevoir Samira chez eux tous les Week-ends A table les filles…
Une table basse si agréable. Quinze jour plus tard, Cathy décida de retourner chez Samira avec son homme. Avant de partir, elle lui menotta les mains dans le dos sous sa veste afin qu’il ne soit pas tenté d’échapper à son sort…Le voyage se fit à pied en pleine ville à la tombée du jour. Richard tremblant de trouille de croiser quelqu’un qu’il connût (et de devoir lui serrer la main !) et arriva enfin chez sa nouvelle tortionnaire. Suivant docilement sa femme dont il put admirer les superbes jambes dans l’escalier, il arrivèrent enfin à l’étage de Samira la « Redoutable ». Une fois la porte ouverte par la superbe jeune Kabyle, les deux époux entrèrent. Instinctivement, il coula un regard dans sa direction. Erreur fatale ! ses yeux croisèrent ceux de Samira qui n’attendait que ça… « Tu veux ma photo ? fit-elle avec un sourire au dents cruelles. Je t’ai expliqué qu’un sous-être comme toi ne doit jamais regarder sa maîtresse dans les yeux, tu l’as déjà oublié ? ajouta-t-elle en s’approchant de lui » Richard avait vite baissé les yeux et sentant son cœur battre, il s’était agenouillé en implorant « pardon, Samira ! Pardon, pitié, je ne le ferai plus… » Il savait que cela ne la calmerait pas et au contraire il accumulait les gaffes. « Maîtresse ! Pardon Maîtresse ! » se souvint-il soudain… Deux gifles retentissantes lui secouèrent la tête « baise-moi les pieds crétin, tu t’en tires bien pour cette fois ! » Les larmes aux yeux, il s’éxécuta servilement. Les deux femmes prirent ensuite l’apéritif après l’avoir fait déshabiller et servir des boissons dans le plus simple appareil. Il attendait à genoux les yeux baissés, immobile en apparence mais l’esprit tournant à cent à l’heure. Enfin Samira annonça « j’ai une surprise pour ce minus, veux-tu lui bander les yeux avec ceci pendant que je vais la chercher ? » Lorsquelle revint, Richard était plongé dans l’obscurité ne sachant à quelle sauce il serait mangé cette foi-ci… Son trouble se manifestait par saccades et des élancements commençaient à lui travailler les reins. « Allez grimpe à 4 pattes sur la planche! Ordonna la jeune Kabyle »; si Richard avait pu voir ce que Cathy et Samira mijotaient, il aurait vu la planche montée sur 4 roulettes, munie de 2 trous aux 4 coins. Cathy maintint la planche du pied tandis que l’homme s’y installait docilement. Samira saisit les 4 fers en « U » et, avec les deux plus petits, elle immobilisa ses poignets en les plaçant à l’envers, les passant à travers les trous doubles. A l’aide de vis-papillon placées sous la planche au extrémités filetées de chaque « U », elle serra les fers au maximum.Les yeux bandés et les mains rivées à la planche, il ne pouvait déjà plus faire grand chose. Elle fit de même avec ses chevilles prenant un malin plaisir à serrer douloureusement ces dernières contre le bois. Richard commençait à comprendre ce qui lui arrivait. Il serait impuissant et immobilisé, mais pourrait être déplacé comme un vulgaire meuble, une table basse à roulettes plus précisément!Les propos des deux filles étaient de plus en plus crus et évocateurs à son sujet. Elles se lancèrent avec plaisir dans des invectives vulgaires sur sa position et son impuissance à faire quoique ce soit pour les en empêcher. Samira s’assit même un moment sur son dos au niveau de ses épaules et alluma une cigarette. Lorsqu’elle eut fini, elle se servit de sa nuque pour l’y écraser. Il ne put laisser échapper un gémissement, ce qui réjouit la cruelle féline à l’extrême.« Aurais-tu des pinces à linge ma chérie ?» fit-elle avec un sourire innocent. « Bien sûr répondit Cathy, je vais chercher la boîte. » Samira était momentanément seule avec Richard. Elle en profita pour le torturer aussi moralement. « Pauvre petit mâle prétentieux, tu vas regretter ton attitude méprisante envers moi. Tu ne pensais tout de même pas que j’allais subir ton mépris d’homme suffisant!? » «… Pitié… » gémit-il, lui qui savait ses plaintes inutiles, sinon même stimulantes pour la jeune femme.« Ne me supplie pas: tu as plusieurs heures pour regretter ton attitude insultante, mais après ça… tu viendras me manger dans la main quand je le voudrai... » « ...?! »Il baissa la tête, vaincu. « Et même en public si je l’exige, tu verras! » Le membre de Richard se dilatait à vue d’œil à l’écoute de ces délicieuses menaces. Il était à la totale merci de Samira, comme il aurait toujours souhaité l’être d’ailleurs… Il fallait assumer le plaisir d’être dominé songea-t-il et aussi... la douleur maintenant! Cathy revenait avec un plein panier de pinces à linge multicolores. Alors, en pouffant de petits rires, les deux femmes le gratifièrent de nombreuses décorations: sur les deux tétons, la raie des fesses, les bourses, les cuisses, le cou, le tour de la bouche et même la langue ; si bien qu’il ne pouvait plus articuler un seul mot. Pourtant il aurait aimé crier: « merci! » et « ouille! » à la fois...Pendant que Cathy était allée
faire du thé, Samira lui avait passé un collier de cuir Quelle bonne soirée elle était en train de passer! « Cela ne devrait jamais finir ! » soupira-t-elle en posant négligemment ses talons-aiguille sur la croupe de Richard. Elle s’amusait des traces rouges qu’elle y faisait, lorsque Cathy revint avec un plateau. Celle-ci cherchait où déposer tout cela, quand Samira lui indiqua la nouvelle table: « Si tu laissais tomber quoique ce soit, ta punition serait épouvantable, lança-t-elle d’un ton sec à l’homme-table. »La voix de Samira ainsi que le froid contact des tasses et du sucrier sur son dos le fit frissonner. Mais quand Cathy versa le thé dans les deux tasses, le froid fit place à la brûlure. Enfin, elle déposa la théière heureusement presque vide au centre de ses reins. Bien qu’il s’y attendit, Richard ne put s’empêcher de gémir. A présent les deux femmes devisaient comme s’il n’était pas là. Puis elles commencèrent à Cathy respirait de plus en plus fort. Ce brave garçon assistait en stéréophonie et comme dans un rêve à ces ébats incroyables: lui simple meuble et son épouse dans les bras d’une autre femme ! De toute évidence, c’était Samira qui prenait les initiatives et Cathy qui les subissait, avec délice d’ailleurs. s’embrasser et à se caresser mutuellement, d’abord les seins, puis les cuisses et les hanches.Cathy était nue à présent et Samira avait oté seulement sa culotte de dentelle noire. La brune et somptueuse Cathy voulut s’agenouiller pour procurer à sa belle partenaire des caresses buccales, mais Samira la retint : cette basse besogne était indigne de sa nouvelle amie, plus utile à de nobles tâches. Tirant sur la laisse, elle amena le visage de Richard à hauteur de son intimité. Elle lui retira les sept pinces à linge qui lui meurtrissaient les lèvres et la langue. Celui-ci ne se fit pas prier (avait-il vraiment le choix?)
et sa bouche entra en action. Il Alors elle poussa du pied la « table des plaisirs » vers l’intimité de Cathy tout en lui triturant les seins de ses dix doigts. Cathy ne tarda pas à jouir à son tour sous l’action studieuse de son mari. Que n’avait-elle osé lui imposer pareille contrainte plus tôt! Elle ne le savait pas si doué et n’oublierait pas cette découverte à l’avenir … Les lèvres et la langue de Richard le brûlaient affreusement et son ventre fourmillait de mille sensations inassouvies.Les deux femmes se levèrent, les jambes un peu flageolantes et se rendirent dans la chambre soupirs avec des tonnes de regrets et d’amertume. Laissé seul à son désir inutile, il n’en revenait toujours pas. Ses tentatives pour se libérer étaient vaines et ne faisaient qu’accroître son excitation. Malgré tous ses efforts, il ne parviendrait pas à se délivrer seul. C’était terriblement frustrant après ce qu’il venait de vivre. tendrement enlacées. Il entendit ensuite leursUne heure plus tard, Cathy vint dévisser les vis-papillon situées sous ses mains. « Range toute la maison ! Passe l’aspirateur ! Récure ! Mets le couvert et prépare le repas… que tout soit prêt pour notre retour: nous sortons au cinéma toutes les deux... Si tu oubliais quelque chose, tu serais sévèrement puni! »Richard libéra ses jambes avec difficulté et se leva. Ses membres étaient engourdis et tout son corps endolori. La porte s’était refermée depuis un certain temps déjà sur les deux femmes. Il passa un survêtement à même la peau car il commençait à frissonner…Le temps pressait. Il n’y avait plus qu’à leur obéir et les satisfaire, sinon…et il se mit vigoureusement à l’ouvrage en bonne fée du logis qu’il devenait peu à peu.
Histoires de Cathy et RichardEpisode 10 Résumé des épisodes précédents : Cathy et Richard son mariés depuis cinq ans. Elle vend de l’immobilier de bureau, il est directeur d’un lycée privé à Lyon (France). Voici deux ans, il lui avoue son penchant pour les cordes et les baillons. D’abord incrédule et révoltée, elle comprend rapidement le parti qu’elle peut tirer de cette situation nouvelle, et se fait offrir par exemple un luxueux quatre pièces en ville (épisode 1). Elle s’en amuse même (épisode 2), de plus en plus cruellement (épisode 3 et 4). Virtuose du clavier d’ordinateur, elle dialogue sur Internet avec une mystérieuse Samira qui s’intéresse à leur relation de couple particulière (épisode 5). Un rendez-vous est pris par les deux femmes secrètement et elles découvrent qu’elles se plaisent énormément (épisode 6). Elles conviennent que Cathy et Richard iront déjeuner à la pizzeria où Samira est serveuse afin que les présentations soient faites de façon fortuite en apparence (épisode 7). Richard est désagréable à loisir avec la jeune femme, ce qui décide Samira à aller plus loin et « jouer à trois » (épisode 8). Préparant une vengeance éclatante elle décide Cathy à lui confier la direction d’une séance de rééducation du garçon…(épisode 9) Devant le succès de cette expérience, Cathy décide de recevoir Samira chez eux tous les Week-ends A ECRIRE POUR DES INTERNAUTES ACHARNE(E)S |